Je suis magnétiseuse et guérisseuse.

Je n’ai pas choisi ces fonctions ; un beau jour elles se sont imposées comme une évidence.

Passionnée par la médecine dès mon plus jeune âge et désireuse d’en faire mon métier, j’ai dû y renoncer étant plus littéraire que matheuse.

J’ai fait mes études dans les soins corporels à l’Ecole Internationale Elysée Marbeuf à PARIS. Sans savoir pourquoi, lorsque je faisais des massages, on me faisait valoir que de la chaleur émanait de mes mains, que des picotements ou des frissons étaient ressentis…

J’ai exercé différentes activités professionnelles mettant toujours l’humain au cœur de mes choix (Responsable Communication interne externe en entreprise, Responsable d’une parfumerie, d’un magasin de prêt à porter, négociatrice pour un centre de formation internationale pour adultes). Mon désir : Permettre aux gens de s’accepter, de se réconcilier avec eux-mêmes, de renforcer leur confiance en eux. En toute humilité, mon sens de l’écoute, mon empathie, mon altruisme, mon respect de l’autre sont autant de qualités humaines naturelles qui ont toujours été appréciées par les personnes dont j’ai croisé les chemins.

Ma vie a basculé lorsque j’ai accompagné une amie chez un Maître en magnétisme curatif et guérisseur. Il m’a observé longuement, m’a demandé à me voir. Il a sorti son pendule et sa règle de BOVIS et m’a dit : « C’est bien ce que je pensais ; Vous avez le don de guérison et ce don vous vient d’un ancêtre ». Effectivement, mon arrière arrière-grand père était guérisseur. J’ai renoncé à mon activité de l’époque, j’ai suivi un cycle de formation de 3 ans en radiesthésie médicale appuyé par les enseignements de ce Maître. Un don n’est rien s’il n’est pas travaillé, affiné, canalisé. Un don se performe grâce à des années de travail, de recherches, de lectures et d’exercices pratiques ; C’est le TRAVAIL DE TOUTE UNE VIE. Il n’y a pas d’école de DON et c’est pour cela qu’indépendamment de mes certifications en radiesthésie médicale je me plais à dire que je suis « Diplômée du ciel » ; C’EST LE PLUS BEAU DIPLÔME et celui dont je suis le plus fière.

En 2009, après un après midi de travail avec mon Maître, il me dit : « Tu sais, un jour il faudra que tu fasses sans moi…

Tu feras autrement… ». Il est décédé 15 jours plus tard et sans le savoir, il venait de me passer le relais. Il est toujours près de moi lorsque je travaille et lui voue une gratitude éternelle.

Mon bonheur est d’accompagner, d’aider, d’écouter, de permettre à mes consultants de se libérer de toutes les formes de blocages qui se traduisent par différentes formes de dysfonctionnements et de les amener sur le chemin de la guérison.